Janvier 2011 – Pour 2011, à Québec, le marché immobilier s’annonce favorable pour tous ceux qui songent à vendre leur propriété. Voilà l’une des conclusions à tirer de la Conférence sur les perspectives du marché de l’habitation présentée en décembre dernier à Québec par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).
Selon les analystes de marché de la SCHL, sur le territoire de la Ville de Québec « le marché est serré partout, ou presque… ». Cela signifie que, peu importe le quartier, peu importe le type de propriété (unifamiliale, condo ou « plex »), les conditions de marché favorisent les vendeurs.
QUÉBEC SE DÉMARQUE DES AUTRES GRANDES VILLES
À Québec, de 2002 à 2010, le prix moyen des propriétés résidentielles est passé de 122 000$ à235 000$, soit une augmentation de 93%. Malgré ces hausses de prix importantes, la région de Québec demeure un marché abordable comparativement aux autres grandes villes canadiennes. Par exemple, à Vancouver, en tenant compte du revenu médian après impôts des ménages, une propriété vous coûtera environ 3 fois plus cher qu’à Québec.
La Ville de Québec se distingue par son taux de chômage de seulement 4,6%, par son faible taux de logements vacants (0,4%) et par un solde migratoire positif et fortement en hausse depuis 2005. Dans ce contexte, les augmentations de prix enregistrées ne paraissent pas anormales parce que supportées par des bases solides.
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