L’année 2020 avait démarrée en force…

L’année 2020 avait démarrée en force…

 

L’année 2020 avait démarrée en force à Québec. Les acheteurs étaient plus nombreux qu’au cours des dernières années et l’on avait même commencé à constater certaines surenchères.

 

Les chiffres des mois de janvier et février 2020 sont forts éloquents ;

 

En effet, pendant cette période, le nombre de ventes de propriétés résidentielles a enregistré, à Québec, une hausse de 27% par rapport à la même période en 2019.  À ce chapitre, l’arrondissement de Beauport a connu la plus forte progression avec une augmentation des ventes de 37%.  À l’opposé, la plus faible hausse des ventes a été observée dans le secteur Les Rivières, soit de 9%, ce qui était tout de même une augmentation intéressante.

 

Parlons maintenant des prix de ventes.

 

De ce côté, malgré que la demande ait été nettement plus forte qu’en 2019, le prix médian des maisons unifamiliales a augmenté de façon modeste, passant dans l’ensemble au montant de 260 000$ comparativement à 255 000$ en 2019, soit une hausse de 2%. Le secteur de Beauport a été au diapason avec l’ensemble de la Ville de Québec, affichant aussi une hausse de prix de 2%.

 

Malheureusement, le Québec n’a pas échappé à la pandémie et les courtiers immobiliers ont dû cesser leurs activités le 24 mars, tel qu’ordonné par le Premier Ministre Legault.

 

 

La reprise pourrait être à l’avantage des vendeurs

 

Les activités de courtage immobilier sont autorisées depuis le 11 mai et, dès la première semaine, nous avons constaté 2 choses :

 

• Beaucoup d’acheteurs sont au rendez-vous
• L’inventaire de propriétés disponibles est faible

 

 

En conséquence, d’ici à ce que l’inventaire remonte à un niveau équivalent à 2019, le faible inventaire va favoriser les vendeurs qui seront dans une meilleure position pour négocier.